Dans une première partie nous avions dressé le portait critique du quiétisme, exposant les diverses formes sous lesquelles on peut le rencontrer dans l’histoire récente et particulièrement dans la situation actuelle. Nous démontrons dans cette deuxième partie que cette attitude révèle de grandes carences tant théologiques que politiques, et que le quiétisme politique pose des questions sur l’orthodoxie de ses adeptes.
Cette étude en trois parties expose ce que l’on appelle le « quiétisme politique ». C’est une attitude consistant à ne croire possible la restauration politique de la Cité, le « salut de la France », que par une intervention divine. En pratique, cela consiste surtout à ne pas agir en politique.
Analyse exposant la nécessité de la messe et du sacrement de communion face aux prétendus danger dans l’assistance aux messes de la FSSPX.
Une fracture est apparue au sein de la "Résistance". D’un côté, les partisans de la sortie de la Fraternité, et de l’autre, ceux de la continuité du combat pour la FSSPX. Faut-il quitter la FSSPX maintenant ? La réponse est non. Et nous allons le démontrer.
Nous nous proposons de réfuter la proposition dogmatique « Le magistère pontifical possède une autorité supérieure à celle des docteurs de l'Église, même lorsqu'il s'agit du Docteur commun. »
Nous nous proposons de montrer que si dans Aeterni Patris (4 août 1879) Léon XIII explique à juste titre qu’il faut remettre en vigueur et propager le plus possible la précieuse sagesse de saint Thomas, l’enseignement pontifical concernant la doctrine sociale de l’Église n’a pas toujours tenu compte de ce judicieux conseil.
Le printemps français est un détournement du printemps arabe, formule apposée par les médias aux révoltes que les islamistes ont suscitées dans les « dictatures » de l’Afrique du Nord en 2012. Ce nom a été repris par certains opposants à la nouvelle loi sur le mariage homosexuel. Au printemps arabe correspondrait ainsi en France un printemps français. Ce qui frappe l’observateur attentif, c’est qu’il existe un lien entre Islam et printemps arabe qui se retrouve à un degré différent, quoiqu’essentiel, dans le printemps français.
Depuis des siècles, l’Église catholique défend la véritable nature de l’ordre naturel contre le jansénisme, relayé de nos jours par le néo-modernisme. Les propositions condamnées se retrouvent encore de nos jours en substance dans des articles récents.
Christian Terroir expose la manière dont les controverses autour du politique souffrent souvent de graves carences doctrinales. Il recense le livre du P. Emmanuel « Le naturalisme » qui est aujourd’hui encore, à tort ou à raison comme nous allons le découvrir, une référence sur le sujet.
En une année, combien de sermons, combien de tirades sonores, combien de prises de position à l’emporte-pièce, combien d’actes impulsifs et irréfléchis, combien de chutes ? Il est temps de regarder les choses en face.